Ses productions dressent un tableau étrange, violent, empreint de sonorités passées, et dépeignent une farouche envie de dire et de faire singulièrement. Entre musique club et musique à l’ image, Esther joue des sous-genres, tordant les lignes séparatrices de l’ exercice de style. Construction symphonique, breakbeat sauvage, elle présente un nouveau live vivace, mêlant bass Music, techno et electronica. Moyenne 140 BPM: posture guerrière et résilience tenace.